22ème journée de National 2, le Sporting accueille Alès OC…
Sans manquer de respect aux cèvenols, au regard du programme pour le Sporting sur les 5 derniers matchs, on peut légitimement penser que la rencontre de samedi apparait comme la plus abordable. Gagner serait en même temps une bonne idée et la façon la plus simple de s’éviter une toute fin de saison angoissante. Les réceptions de l’Etoile et du Puy seront d’un autre tonneau et les déplacements à Cannes et Chamalières pour finir, piégeux à souhait.
Tout l’enjeu du match est dans ce constat, un autre résultat qu’une victoire, mettrait le doute et une angoisse prégnante sur les 4 derniers cols à franchir.
Constat fait, on sent bien aux vues des prestations et des résutats : 3 défaites sur les 4 derniers matchs ; que l’équipe pioche quelque peu dans l’entame du money time de ce championnat court mais tellement dense.
Pas le meilleur moment pour flancher…
La méthode Bertin commence à donner quelques signes d’inquiétude. Sur le management en premier lieu où la concurrence n’existe pas, notamment en attaque avec pourtant une richesse évidente, on tire sur les mêmes organismes et on utilise constamment les mêmes armes qui font des Azur et Or une équipe hyper prévisible ; dans le jeu, aucun progrès tangible n’apparait depuis des mois, tout est arraché aux forceps jamais sur l’utilisation du ballon.
Sur l’ambiance au sein du groupe qui semble-t-il s’est dégradée ces dernières semaines là où on nous la présentait comme excellente depuis des mois. L’heure n’est pas encore au bilan ni à une inquiétude exacerbée, avec ces 30 points et dit-on, un maintien qui se ferait aux alentours de 35 ; un succès ce week-end serait un pas décisif pour rester en N2 (quel exploit pour un club comme le Sporting), plus quelques nuls pris çà et là, l’affaire serait pliée. Finir quasiment le job et voir…
Manu
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