Toulon – Laval, une affiche qui a des allures d’affiche professionnelle tant les 2 équipes se sont croisées dans les feu-Divisions 1 et 2 dans les années 80 et 90 ou un peu plus récemment, en National lors de la saison 2006-2007…
Le Stade Lavallois a raté d’extrême justesse la montée la saison dernière, coiffé sur le fil par Le Mans ; et qui après une bonne entame lors des 3 premières journées semble nettement marquer le pas avec 2 nuls et 2 défaites sur les 4 derniers matchs. C’est une équipe expérimentée, connaissant bien ce championnat, qui arrive sur la rade pour tenter de se rassurer.
Sans confiance, rien n’est possible…
Les Azur et Or eux sont toujours dans le dur et n’arrivent pas à décoller. Les raisons sont multi-factorielles et commencent à toucher les têtes, ce qui n’est pas bon signe ; sans un minimum de confiance, rien n’est possible …
Malgré la défaite à Villefranche, on a vu une équipe Toulonnaise faire une meilleure prestation que les 2 précédentes et on peut se dire qu’à réitérer une performance plus complète ; sans ces trous d’air qui coûtent cher à la fin, l’équipe peut et doit espérer mieux.
Des joueurs à leurs postes de prédilection…
Moins jouer n’est pas forcément un signe d’infériorité, on l’a vu, reste peut-être à savoir évoluer avec des joueurs donnant leur pleine mesure à leurs postes de prédilection. Une piste à creuser pour le staff, qui tâtonne pour trouver le déclic.
Le groupe sera retouché car Ouasfane, suspendu, devrait être remplacé poste pour poste par Medoukali. Ech-Chergui devrait lui, faire son retour comme Seïbou et possiblement Gomis qui frappe à la porte pour intégrer les 16 après sa blessure face à Béziers.
En ce 20 septembre 2019, sous les caméras de Canal +, le décor est planté : espérons que ce ne soit pas pour un dernier tango à Toulon…
Forza
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